(...) Les détails et précisions recueillis par les auteurs au Groenland (...), la netteté graphique et la dominante de couleurs froides, ainsi que les rêves et cauchemars de Bernat (...), contribuent à la richesse polyphonique de cette BD où le sourire n'est jamais loin de l'émotion. (...)
PRESSE
Culture Club RTBF
Dans l'émission quotidienne "Culture Pub", ré-écoutez la chronique de Thierry Bellefroid
Livres Hebdo
20 Minutes
DBD (la critique)
(...) Le trio d'auteurs ausculte une fois encore les multiples resources que possède l'homme pour s'adapter à de nouvelles situations tendues. (...) La compassion n'engendre pas un mélodrame, mais un récit subtil sur la sortie de la dépression. (...)
La Tribune de Genève
Nouvelle Vague
(...) son propos est juste et profond, sans être larmoyant ni melo. Tout est dit sans en rajouter, un mot une esquisse suffisent. tout est dans la subtilité. <...)
Nouvel Observateur
(...) les auteurs utilisent avec brio leur idée romanesque de base et leur enquête au Groenland pour nous faire voyager (...)
Sceneario (site)
(...) La collection « Mirages » de Delcourt nous propose un nouveau petit bijou avec cette jolie histoire de famille qui va nous mener de la campagne béarnaise aux grands froids polaires (...) Les auteurs dévoilent les sentiments de ces trois personnages avec justesse et sensibilité. Nous y trouvons l’envie d’être meilleurs, mais aussi la difficulté de se mettre à la place de l’autre pour mieux le comprendre (...)
France Info
Yozone (site)
(...) La rencontre entre le père et le fils est particulièrement bien amenée,
la disparition de la mère révélant la fragilité des liens qui les
unissent (...)
Les planches oscillent entre simplicité du trait et justesse de l’image
comme si ses créateurs cherchaient à montrer l’essentiel, sans
fioriture. Il faut dire que l’immensité glacée du Groenland offre des
panoramas des plus épurés. Cependant, on n’a jamais l’impression qu’il
manque quelque chose : l’image soutient le récit sans lui voler la
vedette (...)
Nlle République du Centre
(...) Erwann Surcouf sublime ce récit intimiste sur fond glacé, grâce à un graphisme qui rappelle l'incision, large et profonde, de la gouge sur une plaque de linoléum. Le Chant du Pluvier est une belle réusite du trio Béhé-Laprun-Surcouf qui avait déjà réalisé un album remarqué, Erminio le Milanais. (...)
Planète BD (site)
(...) Cette troisième aventure glaciaire et humaine est un
troisième coup de cœur ! Entre le carnet de voyage et les retrouvailles
familiales, Le chant du pluvier est un récit touchant, juste,
qui fait la part belle à la nature, qu’elle soit subpolaire ou
béarnaise. Le trio à l’origine de ce récit est celui qui avait déjà
excellé dans Erminio le milanais. Visuellement, la patte
graphique évolue légèrement par rapport à cette dernière œuvre, plus
accessible, mais tout aussi subtile. (...)
Parution (le site)
(...) Attention, petit chef d’œuvre, dans le genre sobre, dépouillé mais profond. (...) Le lecteur est immédiatement saisi par ce
paysage dépouillé, nu, cette vie réduite à l’essentiel, cette
atmosphère crépusculaire et se concentre sur les sentiments découlant
de ce face-à-face entre un père et son fils. Une réussite. (...)
Magazine du journal "La Montagne"
Le Vif / L'express / Bruxelles
L@BD et CRDP
(...) Entre chronique familiale et carnet de voyage, entre mystères du monde et secrets de famille, le récit s'ancre avant tout dans la vie quotidienne, celle du paysan béarnais puis celle des pêcheurs arctiques. On s'immerge sans difficultés dans cette évocation intimiste où le caractère superficiel des relations entre enfants cache bien souvent des rancoeurs, des fêlures qui ne demandent qu'à rejaillir au grand jour (...)
Kinorama
(...) Tout en retenue, cet album superbe parle avec sobriété de l’alliance
avec la nature, qui va de pair avec l’alliance entre personnes. En
filigrane, le message écologique passe en douceur, avec le calme blanc
pour seule vitrine, en lieu et place d’un long discours argumentatif. Le chant du pluvier est alors un régal, dont le style graphique rappelle celui de Bruno Le Floc’h dans Trois éclats blancs. Les couleurs de la mer y sont aussi pures et profondes que les paysages d’Erwan Surcouf.
Une belle perle qui trace une ligne imaginaire et nostalgique entre le Grand Nord et le Sud de la France (...)
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